« Le Bonheur » est communément défini comme un état de bien-être ou une expérience agréable, mais cette notion de bonheur est seulement une petite partie de la psychologie positive.
La psychologie positive est aussi entre autre l’étude scientifique des forces et des vertus qui permettent aux individus et aux communautés de prospérer.
Selon Seligman (2002), la psychologie positive a trois préoccupations majeures :
- les émotions positives
- les traits individuels positifs
- les institutions positives.
---> Comprendre les émotions positives implique l’étude de satisfaction avec le passé, le bonheur dans le présent, et l’espoir pour l’avenir. ---> Comprendre les caractéristiques individuelles positives se compose de l’étude des forces et des vertus, comme la capacité d’aimer et de travail, le courage, la compassion, la résilience, la créativité, la curiosité, l’intégrité, la connaissance de soi, la modération, la maîtrise de soi et la sagesse.
---> Comprendre les institutions positives implique l’étude de la signification et le but ainsi que les forces qui favorisent de meilleures collectivités, comme la justice, la responsabilité, la civilité, la parentalité, le dévouement, l’éthique du travail, le leadership, le travail d’équipe, le but et la tolérance.
Chacun de ces trois domaines est liée à un sens différent du terme scientifiquement lourd « bonheur », et chacun a son propre chemin vers le bonheur (Seligman, 2002). ** Les émotions positives mènent à la vie agréable, ce qui est similaire aux théories hédonistes de bonheur. ** Utiliser ses forces dans une tâche difficile mène à l’expérience de flux (Csikszentmihalyi, 1990) et à la vie engagée.
** Déployer ses forces au service de quelque chose de plus grand que soi peut conduire à la vie pleine de sens (par exemple, l’appartenance au service des institutions telles que l’éducation, la liberté de la presse, de la religion, de la démocratie et de la famille, pour n’en nommer que quelques-unes).
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